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[MarinaLaFarouche]

Il y a deux bonnes pages qui donnent quelques idées pour se forger une image.
Petite question au médecin de bord : la désinfection est-elle appliquée? le rhum peut-il servir à cela?!

[J. Bonhomme]

la désinfection est-elle appliquée?

Cette est une bonne question... pour te répondre je fairai des recherches car je ne me rappele avec precision cet argument, ce qui je peux te dire maintenant est que ça depende du periode consideré et aussi de la "ecole" du medecine du navire...

le rhum peut-il servir à cela?!

Pour ça je peux te repondre immediatement, le rhum aujourd'hui a une pourcentage d'alcool de environ 40%, et le rhum bu par les pirates avait une pourcentage encore plus haute; si tu pense que l'alcool utilisé pour la désinfection en medicine a une concentration d'environ 60% tu peux comprendre que effectivement on peut l'utiliser pour désinfecter des blessures... On peut trouver ces conseilles aussi dans les livre de survivance . Cela dit, je te conseille de ne pas essayer mais de acheter du iodine en pharmacie, et d'utiliser le rhum pour ça:

[J. Bonhomme]

Alors, je vien de rélire des articles à propos de la médecine à bord; pour éviter d'écrire un message d'une dizaine de pages je parle uniquement de la chirurgie de bord à l'entour du 1700, qui enfin est le periode de ton roman.
Le médecin de bord était surtout un chirurgien, ça pour le fait que les problèmes qu'il traitait étaient pour la plûpart blessures, et en étant chirurgien il venait consideré un médecin de deuxième classe; pour ça ses connaissances vénaient sûrtout de son experience et pas de ses études. Cela dit, on peut comprendre parce que le traitement des blessures changeait selon le chirurgien qui intervenait. La désinfection comme celle que connaissons nous n'était pas appliquée, car enfin on n'avait pas encore réconnus les bactères comme cause des infectionnes; ce qu'on faisait était plûtot laver les blessures, mais seulement pour eliminer les eventuels corps étrangers. Le chirurgien ne faisait rien pour eviter l'inflammation des blessures, parce que cette était consideré une réponse naturelle et utile du corps; en revanche, si l'infammation ne apparaissait pas le chirurgien était très inquiet, ça signifiait que la blessure n'était plus vitale. Donc, j'ai dit que on lavait les blessures: ce lavage était fait avec eau, parfois chaude, vin ou vinaigre (ou encore un mélange des trois); dans tout cas le chirurgien essayait à eliminer les corps étrangers de la blessure avec le plus grand soin (même si plus vite possible). La méthode pour laver les blessures était choisie selon l'experience du chirurgien: si le médecin, pour exemple, avait remarqué que en utilisant du rhum en lieu de l'eau les blessures guérissaient mieux il préferait utiliser cette méthode. Une autre chose à considerer est que tous les traitements des blessures étaient faits très vite, surtout pour diminuer la douleur du blessé, donc on évitait tous les manoeuvres considerées inutiles comme un lavage trop soigneux.
Tout ça explique parce que les infections étaient la cause de mort plus importante à bord. J'éspére d'être reussi à m'expliquer, malheureusement j'ai dû faire un resumé extréme... Je voulais écrire quelque chose à propos de la médecine de bord il y a déjà du temps, si je reussirai j'ouvrirai un nouveau sujet.

[Blackbeard]

Dans le livre "Au jour le jour" de Jean-Pierre Moreau, il parle des maladies et blessures (page 131) avec beaucoup de détails qui font frémir !
Le scorbut, engendre des gros morceaux de chair pourrie et baveuse dans la bouche, générant enflure et putréfaction, laquelle il faut couper au rasoir.... les dents qu'on peut arracher aisément mais toujours en coupant les chairs. Burp
Au service du (des) chirurgien(s) du bord est l'apothicaire pour préparer les remèdes. En plus de couper les membres avec des scies, et autres outils de travails tels que tire-balles, crochets, vilebrequin, il fait un travail un peu moins gore comme celui de couper les cheveux et raser la barbe

[Hamidou Kar]

Beurk! je plains ces pauvres diables(les pirates,bien sur)